Depuis le 8 juin, dans le respect des conditions sanitaires, afin d’accompagner les établissements dans leur reprise et de renouer avec la notion de rencontres inter-associations sportives, les services de l’UNSS de Franche-Comté et de Bourgogne ont créé un challenge proposé aux établissements.
Il durera au moins jusque fin septembre.
Cinq thèmes constituent ce challenge à relever sous différentes formes et à différents rythmes au choix des professeurs d’EPS :
un bonus de participation des élèves licenciés UNSS
des défis sportifs 2024 à réaliser sous différentes formes,
un quizz, questionnaire réglementaire sur les différentes activités sportives et sur l’olympisme
un thème reporter-photo sur les défis réalisés ou des mises en scène des gestes barrières
Dans le cadre de la journée olympique et paralympique :
un marathon de la solidarité consistant, par groupe de quatre à six coureurs, partant du collège ou du lycée, à faire une photo devant par exemple un hôpital, un Ehpad, une caserne de pompiers, un supermarché…pour rendre hommage aux personnels de santé et aux autres "héros" de la crise sanitaire.
Un classement sera établi et les dix premières associations sportives par département seront primées :
300 € de la 1re à la 3e place
200 € de la 4e à la 6e place
150 € de la 7e à la 10e place.
Découvrez les dispositifs mis en œuvre dans l’académie.
L’école ouverte
Le dispositif "École ouverte" permet d’accueillir dans les écoles ou les établissements des jeunes qui ne quittent pas leur lieu de résidence pour leur proposer un programme équilibré associant renforcement scolaire et activités sportives et culturelles au sens large.
Dans l’académie de Besançon, le dispositif existe depuis plusieurs années déjà. La période de confinement ayant rendu les conditions d’apprentissage et les relations plus difficiles, le dispositif est largement étendu cette année afin de répondre aux besoins des élèves qui ont le plus souffert de cet éloignement de l’école.
Quel est le programme ?
Le matin : activités visant à renforcer les compétences scolaires des élèves, notamment dans l’acquisition des savoirs fondamentaux : lire, écrire, compter et respecter autrui.
L’après-midi : des activités culturelles, sportives et de découverte de la nature, en lien avec les enjeux contemporains climatiques et de biodiversité.
Quand et où a-t-elle lieu ?
Le dispositif sera déployé dans les écoles et établissements scolaires participants à l’opération.
Les apprentissages et activités auront lieu dans ou à proximité de l’établissement de rattachement de l’élève.
L’école ouverte buissonnière
Afin de sensibiliser les élèves au développement durable, des séjours à la campagne sont organisés dans le cadre du dispositif "École ouverte buissonnière". Il s’agit d’offrir aux jeunes des vacances éducatives au contact de la nature afin qu’ils découvrent un territoire différent de celui qu’ils connaissent au quotidien.
La possibilité est ainsi donnée aux élèves de partir à la campagne, à la découverte de la nature et du patrimoine local, ou de s’évader en mini-camps sous tente incluant une "école ouverte".
Cette immersion dans un environnement naturel favorisera la sensibilisation aux enjeux écologiques ainsi que le prise d’autonomie et de responsabilité.
Qui organise les séjours ?
Les séjours sont organisés par les établissements scolaires avec le concours des collectivités et des associations partenaires de l’École. Les séjours sont ainsi encadrés soit par des enseignants ou personnels des établissements, soit par des animateurs.
Quelle est la durée ?
séjours de 2 à 7 jours en itinérance (camp sous tente)
séjours de 5 à 14 jours en accueil sédentaire
À qui s’adressent ces dispositifs ?
Les dispositifs "École ouverte" et "École ouverte buissonnière" s’adressent aux élèves volontaires des établissements qui se sont engagés dans l’opération, du CP au lycée.
Ils sont destinés plus particulièrement aux élèves ayant un besoin de consolidation des apprentissages. Ces élèves seront ainsi prioritaires pour en bénéficier.
Pour plus de renseignements sur la mise en place de ces dispositifs contactez :
pour les collèges et lycées, votre chef(fe) d’établissement,
pour les écoles, votre directeur(trice) d’école ou la Direction des services départementaux de l’Éducation nationale.
"L’été du pro" : l’école ouverte dans les lycées professionnels
"L’été du pro" est un dispositif qui consiste à ouvrir les lycées professionnels et les EREA durant l’été afin de permettre aux élèves, par petits groupes, de participer à des ateliers sur les plateaux techniques.
La période de confinement a tenu éloigné les lycéens professionnels des ateliers et n’a pas permis de travailler les enseignements pratiques de manière convenable. "L’été du pro" est donc une réponse à cette difficulté par un renfort des compétences et des aptitudes professionnelles ou pour préparer aux sessions de septembre pour ceux qui n’ont pas obtenu leur diplôme.
Cela concerne aussi les élèves qui souhaitent découvrir une nouvelle filière professionnelle dans le cadre d’un projet de réorientation envisagée ou bénéficier d’une découverte des métiers.
Où ?
Dans les lycées professionnels et EREA engagés dans l’opération
Par qui ?
Encadrement par des professeurs d’enseignement professionnel
Quand ?
Dans les quinze premiers jours de juillet ou la seconde quinzaine d’août
"Les colos apprenantes" s’inscrivent dans l’opération "Vacances apprenantes" qui a pour objectif de répondre au besoin d’expériences collectives et de remobilisation des savoirs après la période de confinement qu’a connu notre pays. Elles se dérouleront pendant les congés d’été : du 4 juillet au 31 août 2020.
Une édition 2020 marquée par la crise sanitaire qui n’aura cependant pas entamé la motivation des enseignants et élèves de l’académie : exemples de réalisations par des élèves et leurs professeurs confinés !
"Shallow" - Lady Gaga
Les choristes volontaires de la chorale du collège Aigremont de Roulans, avec leur professeur, lancent un projet musical : une très belle et touchante interprétation de Shallow, de Lady Gaga afin de rendre hommage aux soignants. Enregistrement réalisé "at home" par Ambre, Charlise, Eyerus, Ilona, Leia, Léa, Méline et Sarah.
Direction musicale : Joël Saint-Hillier.
Les choristes ont enregistré un couplet chacun et le refrain. Ils ont été peu nombreux, par rapport à l’effectif choral du collège, mais ils ont été rejoints par une bande de professeurs très motivés !
Les challenges "Chorale confinée mais chorale motivée"
Ces élèves des classes CHAM du collège Arthur Rimbaud ont beaucoup joué pendant cette période angoissante et compliquée, au milieu de laquelle la musique a été un îlot préservé, un réconfort et un repaire. Aidés parfois par leurs parents musiciens, ils ont rempli de bonnes vibrations les lieux de leur confinement, qui s’ouvrent alors à un partage humain et musical inattendu !
Direction musicale : Nicolas Tornare.
Réécrire/varier le texte d’une chanson de leur choix, en s’inspirant de ce que chacun vit en confinement, puis de poster leurs interprétations sur un padlet. Florilège de propositions, dont celle-ci, sur une chanson de Mickaël Miro, interprétée par un duo féminin : Camille, élève de 5e, et sa sœur Manon ancienne élève du collège, désormais en seconde.
Depuis le 16 mars 2020, les élèves n’ont plus de cours de musique au lycée Pasteur. Cependant, les projets initiés avant le confinement général ne pouvaient rester inachevés. Vous entendrez dans ce film cinq extraits de chansons intégralement composées par les élèves. Les textes ont été écrits avant le confinement par des lycéens de première en enseignement de spécialité "musique". Les compositions musicales ont été réalisées à distance : les élèves se sont enregistrés avec leurs téléphones et ont envoyé leurs prises individuelles qui ont été montées puis mixées à la maison par leur professeur de musique !
Élèves de seconde, première et terminale, enseignement optionnel et de spécialité musique. Direction pédagogique et montage : Cécile Delavelle
Antoine Boguet, directeur et enseignant à Roches-lès-Blamont, a demandé aux écoliers, avec ses collègues, de mettre en mots les émotions ressenties face au virus et au confinement. À partir de ces textes, le père du directeur, le musicien bisontin "Mégot" a écrit une chanson, puis les professeurs ont demandé aux 94 familles concernées si les enfants voulaient réaliser les chœurs et avaient envie d’illustrer le clip par des dessins. L’engouement est immédiat : les parents enregistrent les petits sur smartphones et transmettent peintures et crayonnés (350 dessins collectés).
Cerise sur le gâteau, la participation surprise du chanteur Aldebert !
école élémentaire intercommunale de Roches-lès-Blamont
"On fait comme si" - Calogero
"On fait comme si tout n’était qu’un jeu…". Ainsi débute le refrain de la chanson de Calogero, une ballade qui restera comme le marqueur d’une époque, dans cette interprétation familiale et confinée.
Julien Jacquot, enseignant, et ses enfants Marius et Lisette.
Retour des apprenants dans les Greta de l’académie
C’est l’heure du déconfinement dans les Greta de l’académie de Besançon : si les apprenants ont pu consolider leurs connaissances générales et transversales à distance, il faut désormais revenir dans les ateliers et prendre en main les outils pour les mises en situation
Pendant la période de confinement, les Greta ont bénéficié de l’appui de l’équipe FOAD de la DAFPIC et de sa maîtrise de la plateforme e-Greta pour proposer un suivi pédagogique, une classe virtuelle et plus de quarante types d’activités en ligne proposés par la plateforme Moodle. Des supports innovants et expérimentaux ont même été créés et sont en cours de tests.
Le retour en atelier a nécessité une adaptation aux règles de distanciation physique et à la mise en œuvre des gestes barrières, qui sont désormais intégrés à la méthode. D’une certaine manière, ils constituent un élément à part entière des pratiques de la prévention des risques, une compétence nécessaire à toute activité professionnelle.
Le Greta de Besançon, comme ceux du Jura, du Haut-Doubs, de Haute-Saône et Nord Franche-Comté, a été exemplaire dans la mise en œuvre de ces nouvelles dispositions sanitaires.
À cette occasion, un reportage de France 3 présente les plateaux techniques développés dans le cadre d’un partenariat avec la région Bourgogne Franche-Comté pour les diverses filières du bâtiment et des travaux public. L’existence de box et de boîtes à outils individualisés, initialement à des fins pédagogiques, a facilité cette adaptation, complétée par une signalétique pour les déplacements. Des mesures d’hygiène ont été mises en place pour les outils et machines partagées.
La campagne de bourse de lycée pour l’année scolaire 2020-2021 vient d’être lancée : deux périodes distinctes.
Afin de vous accompagner dans la mise en œuvre de cette campagne en tenant compte des règles sanitaires en vigueur, vous trouverez ci-dessous le détail des règles applicables.
Cette année, la campagne de bourse de lycée se déroule pendant deux périodes distinctes :
jusqu’au 7 juillet 2020 : durant cette période, seules des demandes de bourse papier pourront être déposées.
Il n’a pas été possible de mettre en œuvre un téléservice de demande en ligne dans des délais satisfaisants au regard de l’évolution réglementaire à prendre en considération (revenus n-1, soit 2019) et de la crise sanitaire qui a impacté les équipes de développement et la Direction du numérique pour l’éducation.
du 1er septembre au 15 octobre 2020 : la demande de bourse s’effectuera en ligne durant cette deuxième période ou au format papier (notamment pour les situations particulières).
Option Innovation se tiendra à nouveau dans l’académie de Besançon, du 12 au 16 octobre 2020. Inscriptions jusqu’au 3 juillet.
Cette année 20 000 jeunes et leurs enseignants pourront participer partout en France métropolitaine et en outre-mer à l’un des 1 100 programmes imaginés par les 400 lieux d’innovation participants (incubateurs, startups, pépinières d’entreprises, Fablabs, lieux d’expérimentation et tiers lieux, Pme et Eti).
Dans l’académie de Besançon, une quinzaine de sites d’innovation se mobilisent pour accueillir les jeunes.
Plus d’une vingtaine de programmes seront proposés en fonction de vingt-cinq thématiques : alimentation, do it yourself, intelligence artificielle, jeux vidéo, sécurité, finance, objets connectés, science, etc.
Ils aideront les élèves à comprendre les différentes étapes de la création d’une entreprise innovante et les dernières technologies pour les laisser imaginer les contours de leur futur métier.
Comment aborder les fractions avec les élèves ? Dans le département du Doubs, des enseignants utilisent une nouvelle proposition pédagogique, Klásma, développée depuis trois ans sur les circonscriptions d’inspection de Besançon 2, Besançon 3 et Besançon 4.
Les fractions, une nouvelle notion à apprendre
Quand les enfants entrent à l’école, ils ont déjà une approche de la notion d’unité et des fractions simples. Ils ont déjà une représentation de situations de portions ou de mesures : une part de gâteau, la moitié d’une pomme, un demi-verre d’eau, un quart d’heure. Puis vient le temps d’apprendre à mobiliser ces nouveaux nombres que l’on appelait autrefois "les nombres rompus" et qui permettaient déjà dans l’Antiquité la résolution de problèmes de mesures, de partages. Pour les élèves de cours moyen qui découvrent la notion, le défi est essentiel pour la poursuite de leur scolarité. Alors, comment répondre à la problématique liée à l’enseignement des fractions et aux éventuelles difficultés rencontrées par les élèves et les enseignants au moment de cet apprentissage ?
Depuis qu’elle a intégré le groupe de réflexion sur les fractions, il y a trois ans, Agnès Moine, professeure à l’école primaire de Nancray, utilise Klásma qui propose toute une progression de situations d’apprentissage : ses élèves de CM2 devaient trouver les différentes compositions de l’unité-disque, identifier des égalités de fractions, construire des compléments à l’unité, découvrir des sommes de fractions. À chacun son rythme, sa stratégie, ses procédures pour réussir à résoudre les situations et à écrire toutes les solutions possibles, mises ensuite en commun.
Klásma pour comprendre les fractions
Klásma (traduction du mot "fraction" en grec) est le fruit d’un long travail collaboratif porté par deux conseillers pédagogiques des circonscriptions de Besançon 2 et 3, Cyril Pasteur et Charles Perritaz, et avec le soutien de Loïc Martin inspecteur de l’éducation nationale, chargé de la mission départementale en mathématiques. Fort de la réussite du projet Mathernelle conduit dans les circonscriptions d’inspection de Besançon 2 et 3 sur la construction du nombre et de l’espace au cycle 1, et qui avait impulsé un réel changement des pratiques pédagogiques, un nouveau groupe de travail s’est constitué sur la construction du concept de fraction au cycle 3.
Qu’est-ce que Klásma ? Quelle est sa plus-value ?
Le projet Klásma fédère des enseignants et des formateurs, professeurs des écoles et conseillers pédagogiques des circonscriptions de Besançon 2 et 3, puis de Besançon 4, qui travaillent ensemble pour apporter des éléments pédagogiques et didactiques aux professeurs qui enseignent les fractions. "Notre priorité est de permettre aux élèves de manipuler du matériel qui va progressivement laisser la place à la représentation mentale afin de leurs donner le temps de concevoir les fractions et de construire du sens dans la verbalisation", explique Cyril Pasteur. "Les situations pédagogiques sont autovalidantes. L’élève est donc à même de valider sa procédure en totale autonomie, ce qui lui permet de construire du sens et de multiplier les essais, à son propre rythme. L’enseignant, déchargé de la tâche évaluative, se concentre sur l’observation différenciée des procédures engagées, et par son étayage, permet aux élèves de prendre conscience de ce qu’ils sont en train d’apprendre."
Dans un cadre de formations alternant des temps de recherche et des temps d’action, des collègues sont invités à tester dans leur classe les situations pédagogiques qui leur sont proposées, à faire des retours sur expérience pour les faire évoluer. "À chaque fois que cela a été possible, nous sommes allés filmer des séances et échanger avec les enseignants sur les choix didactiques, les modalités pédagogiques, les gestes professionnels, les consignes, les temps de synthèse, le rôle du langage oral et du langage écrit…", poursuit-il. Des films utilisés par ailleurs comme support de formation autour de la ressource.
Un matériel spécifique
Les situations proposées dans le projet Klásma s’appuient sur un matériel spécifique utilisant le disque comme unité de référence ainsi que la bande unité papier. Les kits individuels et collectifs sont constitués de fractions de disques qui ont la particularité d’être "non-identifiées", c’est-à-dire sans indice sur leur valeur, pour permettre aux élèves d’être en activité de recherche, de raisonnement et de construire leur représentation mentale des nombres fractionnaires.
Le matériel étant introuvable sur le marché, l’association à but non lucratif "MATHière à penser" a été créée pour le proposer à un prix raisonnable. Il a été fait appel, pour sa fabrication, à des structures de transfert de technologie : les lycées proposant les formations technologiques recherchées - lycées Jules Haag, Edgar Faure dans le Doubs et Édouard Belin en Haute-Saône - n’ont pas hésité à plancher sur le cahier des charges. Convaincus par le projet, Francis Plachta et Alain Galmiche, responsables des plateformes technologiques de ces lycées, se sont engagés et ont mis leurs compétences au service du projet. GareBTT, l’association bisontine de réinsertion sociale et professionnelle et l’entreprise Besson à Noidans-lès-Vesoul prenant en charge la production des matériels.
Un dispositif innovant et efficace
Les formations pédagogiques et le groupe départemental sur les mathématiques servant de caisse de résonance, la démarche Klásma est montée en puissance auprès des écoles : 170 classes sont équipées de ces outils efficaces pour permettre aux 4 200 élèves de bien comprendre et apprendre le concept de fraction. "De plus, les enseignants de mathématiques des collèges mesurent déjà les effets du dispositif sur les élèves du secteur et s’emparent du matériel avec leurs propres collégiens, assurant ainsi la continuité du cycle 3 et la sécurisation du parcours des élèves.", précise encore Cyril Pasteur.
Déjà soutenu pour ses qualités pédagogiques et didactiques par le PARDIE de l’académie de Besançon, le projet KlÁsma séduit aussi le centre Alain Savary, centre national de formation de formateurs de production de ressources sur les pratiques éducatives et les métiers de l’éducation.
Pour la deuxième année consécutive, le CLEMI de l’académie de Besançon organise, en partenariat avec les dessinateurs de presse Rodho, Berth et Bauer, l’Est républicain et Cartooning for Peace, le concours de dessin de presse.
Au sein d‘une classe, les élèves, volontaires, seuls ou en groupe de quatre maximum, doivent réaliser un dessin de presse illustrant un thème d‘actualité.
Le format est libre (maximum A4), couleur ou noir et blanc, toutes techniques graphiques acceptées.
Le dessin produit doit avoir été réalisé au cours de l’année scolaire 2018/2019.
Le concours s’adresse aux élèves du cycle 3 de l’école primaire jusqu’au post-bac et établissements spécialisés.
L’envoi est limité à trois dessins pour les participations collectives, un dessin pour les participations individuelles.
Le jury, composé de professionnels des médias, de dessinateurs de presse et de membres du CLEMI se réunira dans la deuxième quinzaine d’avril. Les prix sont offerts par nos partenaires et par le CLEMI de l’académie de Besançon. Tous les dessins feront l’objet d‘une exposition le jour de la remise des prix.
Retrouvez les lauréats de l’édition 2018-2019
Collège René Cassin, Baume-les-Dames
Chloé Plançon
Charlène Poy
Bertille André
Collège Sainte-Anne Saint-Joseph, Lure
Jade Mazzier
Thibaut Vielle, Benjamin Meunier et Tony Phélisse
Joyce Marquet, Solin Aydin et Célia Loreau
Contact
Marie Adam-Normand, coordonnatrice du CLEMI de l’académie de Besançon Courriel
Objectif : sensibiliser les élèves de sixième à la problématique d’une maîtrise des usages du numérique et à la formation de cyber-délégués, ambassadeurs des bonnes pratiques du numérique.
En juin dernier, l’établissement avait organisé, en lien avec les Francas du Doubs, une soirée de sensibilisation ouverte à tous, consacrée aux dangers d’un internet non maîtrisé et au cyber-harcèlement. Dans cette continuité, l’établissement a souhaité monter une équipe de formateurs en charge de sensibiliser les élèves de sixième les 10 et 11 février dernier. À l’issue de ces journées, huit cyber-délégués volontaires ont été désignés (deux par niveaux, un garçon et une fille). Il leur a été remis le "ruban bleu" du cyber-délégué du collège. Ils bénéficieront par ailleurs de deux demi-journées de formation au printemps pour mieux les préparer à leurs nouvelles missions.
Les missions du cyber-délégué
être à l’écoute de ses camarades pour les problèmes liés aux réseaux sociaux,
sensibiliser aux dangers du numérique (lutte contre le cyber-harcèlement / "Fake news" / multiplication des sources d’informations),
aider à l’organisation et /ou proposer des événements de sensibilisation ou de prévention autour du numérique en fonction des besoins des élèves en lien avec le promeneur du net référent du collège,
suivre la formation des cyber-délégués,
être porte-parole de ses camarades sur les questions numériques.
être présent aux réunions d’échanges avec l’animateur référent et promeneur du net du collège,
respecter la confidentialité entre pairs.