Maintenir une offre scolaire et éducative de qualité dans les territoires ruraux du Jura
Jeudi 24 mai, à l’école élémentaire d’Arinthod, une convention de partenariat a été signée pour soutenir l’école dans les territoires ruraux du département du Jura.
Les pouvoirs publics accordent une attention particulière à ce que des services de qualité soient offerts dans de bonnes conditions d’accessibilité en zones rurales et de montagne. Dans cet esprit, une démarche contractuelle pluriannuelle a été proposée ces dernières années aux élus locaux pour améliorer les réseaux d’écoles dans ces territoires.
Un engagement en faveur d’une école rurale de qualité
Des dispositifs spécifiques tenant compte des disparités géographiques et sociales sont mis en œuvre pour assurer la continuité du service public et l’égal accès à une École de qualité sur l’ensemble du territoire.
En ce sens, Richard Vignon, préfet du Jura, Bernard Mamet, président de l’association des maires du Jura, Jean-François Chanet, recteur de l’académie de Besançon, et Léon Folk, IA-DASEN du Jura, ont signé une convention cadre, en présence d’Alain Duran, sénateur de l’Ariège, en charge d’une mission sur l’école rurale, et Gérard Marchand, inspecteur général de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche, délégué par le ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Cette convention définit un cadre commun de coopération. Elle instaure d’abord des lieux de dialogue, à l’échelle départementale et à l’échelon local. Elle fixe également des perspectives.
Pour Léon Folk, cette convention reflète la volonté commune des différents acteurs impliqués :"il s’agit de permettre aux enfants de demain de trouver des conditions d’apprentissage correspondant aux exigences de l’époque. Pour les enseignants, il s’agit de trouver des conditions d’exercice permettant de construire ces apprentissages. Enfin, pour les familles, il s’agit de trouver des conseils d’accueil répondant à leurs attentes. C’est bien la construction d’une offre scolaire et éducative de qualité que nous visons aujourd’hui."
Qu’est-ce qu’une convention ruralité ?
Sur la base de diagnostics partagés avec les élus locaux, le ministère de l’Éducation nationale accompagne au regroupement et à la mise en réseau d’écoles.
Les autorités académiques proposent aux élus des territoires concernés par des baisses démographiques un accompagnement aux réorganisations du réseau des écoles rendues nécessaires par les baisses d’effectifs en négociant des conventions, permettant à la fois de lutter contre la fragilité de l’école rurale et de garantir de la visibilité sur les évolutions d’effectifs aux élus et aux habitants.
Les conventions ruralité permettent en contrepartie de la restructuration par l’ensemble des acteurs du réseau des écoles de neutraliser, pendant trois ans, tout ou partie de la baisse des effectifs grâce à :
la création de regroupements pédagogiques
la mise en place de réseaux pédagogiques adossés à des collèges pour renforcer la continuité école-collège
au développement de dispositifs pédagogiques permettant de répondre aux besoins de scolarisation.
Rentrée 2018 : un effort soutenu pour les territoires ruraux

Tenir compte des disparités territoriales et sociales
Les territoires ruraux bénéficient de taux d’encadrement plus favorables que les territoires urbains. La répartition des moyens d’enseignement prend en compte les inégalités sociales, les disparités territoriales et démographiques.
Amplifier les signatures des conventions ruralité
Les conventions ruralité sont la traduction du travail de collaboration de l’éducation nationale avec l’ensemble des acteurs locaux pour soutenir l’école rurale et de montagne.
Les conventions ruralité permettent l’organisation scolaire dans le premier degré. Elles permettent de maintenir et d’améliorer une offre éducative de qualité. Les leviers d’action mobilisés dans ces conventions sont notamment :
la constitution de pôles scolaires
la mise en réseau des écoles
le renforcement des liaisons écoles-collèges
la diminution du nombre d’écoles à classe unique
les innovations pédagogiques
l’adaptation des services de transport scolaire
le recours aux ressources numériques.
En 2017, quarante départements étaient couverts par une convention ruralité sur la soixantaine de départements éligibles. La signature de conventions ruralité dans les départements non couverts doit se poursuivre.
Rapport d’Alain Duran sur la mise en œuvre des conventions ruralité
L’Éducation nationale engagée en faveur d’une école rurale de qualité
Ressources pour les réseaux d’écoles dans les territoires ruraux et de montagne
Contact
Léon Folk IA-DASEN du Jura
Courriel
Une convention pour mieux répondre aux besoins en remplacement des académies
Le 14 mai dernier, les académies de Besançon et de Dijon et la direction régionale de Pôle emploi Bourgogne-Franche-Comté ont signé une convention de partenariat visant à satisfaire les besoins en remplacement des deux académies.
La qualité du service public d’éducation, son impact sur la réussite des élèves sont étroitement liés à la continuité de service assurée par les enseignements, notamment lorsqu’il est nécessaire de remplacer des personnels enseignants ponctuellement absents.
Promouvoir les métiers pour satisfaire les besoins en remplacement
Aussi, les académies et Pôle emploi ont décidé d’associer leurs actions afin d’anticiper certains besoins de ressources humaines identifiés et d’assurer un recrutement rapide de personnels non-titulaires remplaçants tout en veillant à l’insertion professionnelle à long terme.
Une collaboration déclinée autour de trois actions principales
optimiser la couverture des besoins d’enseignement des académies en favorisant le retour à l’emploi de publics pré-identifiés par Pôle emploi (diplôme, compétences, mobilité...)
communiquer sur les métiers, les offres à pourvoir et les formations possibles
promouvoir, organiser et accompagner la mobilité des demandeurs d’emploi pour leur permettre de postuler et d’accéder aux emplois proposés
Pour y parvenir, les deux académies ont mis en place des actions en vue d’informer les demandeurs d’emploi des opportunités de postes (en qualité de contractuels) au sein de l’Éducation nationale :
la présentation et l’échange autour des métiers d’enseignants par des représentants des académies lors de réunions organisées avec des demandeurs d’emploi
la transmission en flux des offres à pôle emploi
la poursuite d’opérations "job datings" (31 dans l’académie de Besançon) et d’informations collectives (33 dans l’académie de Dijon) menées depuis septembre 2016
la mise en place de salons de recrutement en ligne
l’organisation d’immersions au sein des établissements recruteurs pour confirmer le projet professionnel, préparer la prise de poste pour les demandeurs d’emploi susceptibles d’être recrutés en qualité de remplaçants.
Contacts
Service aux affaires régionales
Courriel
Direction des ressources humaines
Courriel
Division des personnels enseignants
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Renforcement du partenariat école-entreprise dans le secteur de l’énergie
Mercredi 4 avril, les académies de Besançon, de Dijon et Enedis Alsace Franche-Comté et Bourgogne ont signé une convention de partenariat.
Ce partenariat s’inscrit dans la continuité du rapprochement école-entreprise dans le secteur de l’énergie, formalisé par une convention signée en juin 2017.
L’éducation nationale et Enedis souhaitent œuvrer ensemble en faveur de l’éducation, de la formation et de l’emploi en Bourgogne-Franche-Comté. Les parties-prenantes veulent également agir en faveur d’une meilleure compréhension des enjeux liés à la transition énergétique et écologique à travers la filière distribution d’électricité.
Agir de manière concertée et efficace

Cette convention de partenariat vise à :
favoriser l’insertion professionnelle des jeunes
construire des échanges sur les connaissances à caractère technique, environnemental ou général relatives à la distribution de l’électricité et
améliorer la connaissance réciproque entre les personnels de l’éducation nationale et les salariés d’Enedis en région.
Elle s’articule autour de cinq axes :
découvrir les métiers techniques du secteur de la distribution d’électricité
soutenir la formation et l’insertion professionnelle des jeunes
participer aux dispositifs de la relation école-entreprise existant dans la région académique
contribuer à la formation tout au long de la vie
favoriser la connaissance des enjeux énergétiques et du développement durable.
Renforcer un partenariat de longue date
Les académies de Besançon et de Dijon souhaitent poursuivre leur coopération avec les milieux économiques régionaux ainsi que le développement d’un partenariat de proximité.
Cette signature de convention marque la poursuite des engagements pris depuis de nombreuses années visant à développer les liens entre le monde de l’École et le monde de l’entreprise.
Avant même que ce partenariat ne soit formalisé, la région académique Bourgogne Franche-Comté et Enedis s’étaient déjà engagées dans une collaboration active que ce soit :
par l’intervention de professionnels au sein des établissements pour présenter les métiers liés à la distribution d’électricité,
par l’accueil de stagiaires de bac pro et BTS au sein d’Enedis
ou par la formation d’alternants et de stagiaires Greta.
Cette nouvelle convention permettra de renforcer la collaboration existante, en déclinant de nouveaux axes de coopération et en élargissant le cercle des partenaires.
L’un des premiers objectifs visés est de mieux informer les jeunes sur les métiers de la distribution d’énergie, afin de les accompagner dans la construction de leur parcours professionnel. Ainsi, ils seront sensibilisés à des domaines de métiers variés (exploitation, ingénierie, postes sources ou réseaux intelligents) qui demandent des compétences à la fois techniques et transversales.
Par ailleurs, la région académique et Enedis souhaitent également sensibiliser les jeunes aux enjeux énergétiques et au développement durable. Cet engagement citoyen pourra couvrir différents champs, tels que le respect à l’environnement, l’économie d’énergie ou le développement des énergies renouvelables et fait écho aux projets portés par Enedis sur la région, à savoir :
la croissance de la production d’énergies renouvelables
la mobilité électrique, et notamment le déploiement de points de recharge électrique
le développement de réseaux intelligents.
Contact
Service aux affaires régionales
Courriel
Enedis en Franche-Comté
Jennifer Sala, chargée de communication
Tél. 06 65 27 45 48
Enedis en Bourgogne
Alexandra Lecat, chargée de communication
Tél. 06 74 29 82 59
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vendredi 22 décembre 2017
L’excellence a son parcours
Le 19 décembre dernier, une convention de partenariat "Parcours d’excellence" a été signée par les parties prenantes au rectorat de Dijon.
Conduire des jeunes de milieux modestes vers une poursuite d’études ou une insertion professionnelle ambitieuse et réussie : tel est le principe du Parcours d’excellence. L’objectif est de proposer aux élèves une offre de tutorat collectif, de visites culturelles et de découvertes dès la classe de 3e, puis un suivi individualisé tout au long de leur scolarité au lycée, quelle que soit la filière choisie.
Un engagement multi-partenarial
Pour accroître les moyens de cette ambition, les académies de Besançon et de Dijon se sont engagées via une convention de partenariat aux côtés de la DRAAF Bourgogne-Franche-Comté, la COMUE UBFC, l’université de Bourgogne, l’université de Franche-Comté, l’UTBM, l’ENSAM, AgroSup Dijon, l’ESIREM de Dijon et la Burgundy School of Business.
Par cette convention, chacun s’engage à favoriser l’ambition des élèves, à les préparer au lycée et à l’enseignement supérieur, en leur proposant un ensemble d’actions tout au long de leur scolarité, de la 3e au baccalauréat.
Dans l’académie de Besançon, 738 élèves bénéficient des Parcours d’excellence. Ils sont 981 dans l’académie de Dijon.
Assurer l’égalité des opportunités de réussite
L’ouverture culturelle, la découverte des formations en passant par des ateliers de prise de parole sont autant d’actions possibles dans le cadre des Parcours d’excellence, comme le souligne Anne-Marie Didier, référente REP+ au collège Diderot de Besançon.
Mise en place l’an passé cette démarche porte ses fruits, se félicite l’enseignante qui a par ailleurs à cœur de revaloriser les bac pro à haute valeur ajoutée. L’an dernier, 65 collégiens sur 180 ont souhaité bénéficier du Parcours d’excellence qui permet "d’enclencher un mouvement vertueux", relève Anne-Marie Didier.
Ce mouvement vertueux, Jean-Christophe Beck, principal du collège Le Chapitre de Chenôve et Amélie Boirot, proviseure-adjointe du lycée Stephen Liégeard de Brochon ont également pu le constater. Le principal se félicite particulièrement de l’implication des élèves et de leurs parents.
Autre satisfaction : les excellents résultats au DNB, obtenu le plus souvent avec une mention. Aujourd’hui ? Ces élèves sont au lycée Stephen Liégeard où leur "Parcours d’excellence" se poursuit via un accompagnement où il est question de soutien pour améliorer leurs résultats, d’information sur l’orientation et d’ouverture culturelle.
En 2016, année de mise en place du Parcours d’excellence au collège Le Chapitre, 54 % des élèves potentiellement concernés ont souhaité en bénéficier. Ils sont 60 % cette année.
Le bénéfice de l’accompagnement par les pairs
Le tutorat avec un étudiant constitue l’un des axes forts de cette démarche. Une démarche qui doit "retenir toute notre attention" a souligné Jean-François Chanet, recteur de la région académique, en mettant en avant l’importance des liens intergénérationnels et tout l’intérêt que représente ce passage de témoin : "il se créé une dynamique vertueuse car on est plus enclin à s’impliquer quand on a soi-même été bénéficiaire".
"Il n’y a rien de plus puissant que le discours d’un jeune vers un jeune" a relevé pour sa part Frédérique-Alexandre Bailly, rectrice de l’académie de Dijon.
Deux étudiants étaient là pour en témoigner : Fanny, en 3e année de droit et Clément, en 2e année de droit, à Dijon. Tous deux ont reconnu avoir été un peu perdus en arrivant à l’université : "si on peut éviter à d’autres d’en passer par là" et "les aider à conforter leur choix". "Il s’agit aussi de casser un certain déterminisme social", explique Clément, qui poursuit ainsi son engagement "pour être utile", lui qui s’est impliqué au sein du CVL.
Contacts
Olivier Apollon, chargé de mission "Parcours d’excellence" dans l’académie de Besançon
Anne de Rozario, cheffe du SAIO de l’académie de Dijon
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vendredi 17 novembre 2017
Développer l’éducation artistique et culturelle en Bourgogne-Franche-Comté
Mercredi 15 novembre, les académies de Besançon et de Dijon ainsi que la DRAC Bourgogne-Franche-Comté ont signé une convention de partenariat.
Conformément aux orientations conjointes des ministères de l’Éducation nationale et de la Culture, le développement de l’éducation artistique et culturelle constitue une priorité commune d’intervention.
Une ambition forte : un accès à l’EAC pour 100 % des jeunes
Cet objectif partagé vise un égal accès de tous les élèves à l’éducation artistique et culturelle par la généralisation du parcours d’éducation artistique prévu dans la loi de refondation de l’École de 2013.
Ce parcours repose sur les trois champs indissociables de l’éducation artistique et culturelle : les rencontres avec des artistes, les travaux sur des œuvres, les pratiques, individuelles et collectives, et l’appropriation d’une culture artistique, ainsi que le développement de l’esprit critique.
Un développement sur tous les territoires de la région académique
Dans cette perspective, Jean-François Chanet, recteur de la région académique, Frédérique Alexandre-Bailly, rectrice de l’académie de Dijon et Bernard Falga, directeur régional des affaires culturelles de Bourgogne-Franche-Comté, ont procédé à la signature d’une convention-cadre.
Par cette convention, les académies de Besançon et de Dijon ainsi que la DRAC Bourgogne-Franche-Comté s’engagent à construire, articuler et renforcer, dans le cadre de leurs compétences respectives, les actions visant au développement de l’éducation artistique et culturelle sur tous les territoires de la région.
Le recteur de l’académie de Besançon, Jean-François Chanet, a tenu à remercier "les DAAC de Besançon et Dijon ainsi que leurs coéquipiers de la DRAC pour la préparation de cette convention qui illustre la coopération entre le ministère de l’Éducation nationale et le ministère de la Culture en Bourgogne-Franche-Comté".
La rectrice de Dijon, Frédérique-Alexandre Bailly, a insisté sur le fait que "cette signature de convention-cadre entre la DRAC et les académies de Dijon et Besançon permet à chaque élève d’accéder à la création".
L’éducation artistique et culturelle de la maternelle au baccalauréat
Éducation artistique et culturelle
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Signature de convention avec l’association Pari
Le rectorat de l’académie de Besançon et l’association bisontine Pari renforcent leurs liens par le biais d’une convention de partenariat
Lundi 2 octobre, le recteur Jean-François Chanet et le président de l’association Pari Alain Pugin ont signé une convention de partenariat visant à consolider et à pérenniser les actions déjà engagées et à encourager le développement de nouvelles actions dans le domaine de l’éducation, de la médiation et de l’accompagnement scolaires des élèves des premier et second degrés.
La signature a eu lieu en présence de Jean-Marie Renault, IA-DASEN du Doubs, de Catherine Dodane et Olivier Apollon, chargés de mission réussite éducative.
Apporter un coup de pouce aux élèves et aux familles
L’association Pari accompagne la scolarité de plus de 460 jeunes, âgés de six à vingt ans, majoritairement du quartier de Planoise à Besançon. Elle propose une aide aux devoirs quotidienne, une ouverture culturelle et un soutien continu aux familles. Huit salariés, quatre volontaires en service civique et 85 bénévoles assurent conjointement les activités liées à ces thèmes.
Estomper les inégalités pour viser la réussite des élèves
Il s’agit de travailler conjointement à la réussite du parcours scolaire de l’élève en prenant en compte les différents temps, scolaire, périscolaire et extra-scolaire, et en y impliquant les parents.
Dans ce contexte et au-delà de l’aide aux devoirs, les partenaires encouragent une pratique active de la culture et des arts ainsi qu’une pratique citoyenne et solidaire chez tous les jeunes. Les actions qui intègrent le PRE et les parcours d’excellence visent à compenser les inégalités d’accès à la connaissance qu’elles soient d’origine sociale ou géographique. L’association Pari contribue aux formations proposées par l’ESPE de Franche-Comté aux étudiants aux métiers de l’Éducation, de l’enseignement et de la formation en leurs proposant des situations de travail avec des élèves à besoins éducatifs particuliers.
Un bel exemple de réussite
Dans le cadre de rencontres organisées à l’initiative de l’association et des écoles et établissements scolaires partenaires, des anciens élèves ayant bénéficié de l’appui de Pari apportent aujourd’hui leur expérience aux petits nouveaux.
Ces parrains, qui ont réussi leur parcours scolaire et professionnel, notamment dans le domaine du bâtiment et dans le secteur automobile, transmettent leur précieux témoignage. Ils sont la preuve que la réussite est accessible à tous et qu’il ne faut hésiter à avoir de l’ambition.
Le recteur Jean-François Chanet a insisté sur le fait que l’académie se devait de reconnaître l’action exemplaire de l’association Pari qui œuvre au quotidien dans un quartier de REP+. Il a vivement remercié son président, Alain Pugin, et son directeur, Imed Jendoubi, pour leur action au service de l’égalité des chances.
Convention de partenariat entre l’académie de Besançon et l’association Pari
Contacts
Olivier Apollon, chargé de mission "cordées de la réussite" et "parcours d’excellence", IEN histoire-géographie
Association Pari
Accompagnement Scolaire
5 avenue de Bourgogne
25000 Besançon
Courriel
Tél 03 81 51 43 07
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