Devoir de mémoire sur la guerre d’Algérie au collège Michel Colluci
Le 26 mars dernier, quatre anciens combattants de la Guerre d’Algérie sont venus apporter leur témoignage aux élèves de troisième du collège de Rougemont-le-Château (90).
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de l’exposition "La guerre d’Algérie, histoire commune, mémoires partagées" dont le vernissage a eu le lieu le 16 mars dernier, au sein de l’établissement.
Une exposition à visée pédagogique
Cette exposition, issue d’un partenariat entre l’éducation nationale et l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre, a été conçue récemment et n’a été pour l’instant que peu réservée par les établissements scolaires. Le collège Michel Colucci est le troisième établissement au niveau national et le premier dans la région académique à l’accueillir.
Elle vient compléter le programme d’Histoire-géographie EMC de la classe de 3e, contribue à l’éducation à la citoyenneté et au parcours citoyen, participe à l’EMI, favorise la création d’une pensée critique et renforce ainsi le devoir de Mémoire.
Un projet pluridisciplinaire
Ce projet pédagogique autour de la Guerre d’Algérie, entrepris avec une classe de troisième, a été abordé selon un double point de vue, historique et en lien avec l’EMI, constituant ainsi un exemple d’étape dans le parcours citoyen du collégien.
Ce travail, réalisé à travers un thème au programme d’histoire, la décolonisation et un exemple, "la guerre d’Algérie", a permis d’aborder des objectifs pédagogiques liés à l’EMI :
le croisement des sources documentaires (revues, livres, sites internet)
l’identification de l’auteur
la fiabilité
le point de vue de l’auteur
le recours à une exposition et l’interview comme ressources documentaires
Les élèves de troisième se sont initiés à l’apprentissage de la prise de notes à partir de différentes ressources afin de constituer, par groupes de deux à trois, des dossiers documentaires sur des sous-thèmes établis par Agnès Mauvilly, enseignante d’Histoire.
Encadrés par Florence Henriey, enseignante documentaliste, ils ont également été placés dans une posture de producteurs d’informations par une initiation à la création d’objets documentaires numériques et d’une infographie.
Au fil de ce travail, les collégiens ont ainsi abordés concrètement l’Histoire, intégrer des notions de l’EMI et de citoyenneté, par une rencontre avec une autre génération. Il s’agit d’un bel exemple de partenariat Histoire-documentation-éducation aux médias et à l’information.
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Le lycée Diderot de Bavilliers (90), champion de France UNSS de boxe dans la catégorie sport partagé
Le 25 mars dernier, le championnat de France UNSS de boxe assaut, catégorie sport partagé, était organisé à Vendômes dans le Loir-et-Cher.
Le titre emporté par le lycée Diderot est un bel exemple d’inclusion des personnes en situation de handicap à travers les activités physiques et sportives comme la boxe et la pétanque (champion de France 2016 et 2017 de pétanque sport partagé).
Quatre élèves et deux accompagnateurs ont participé à ce championnat :
Lise Gaag (boxeuse IEM)
Eddy Scharly (jeune coach au lycée Diderot)
Théo Jardot (boxeur au lycée Diderot)
Vincent Jeudy (professeur d’EPS, responsable de la section boxe au lycée Diderot)
Oliver Macak (jeune reporter au lycée Diderot)
Eraldo Isufi (jeune officiel arbitre au lycée Diderot)
Des grands champions, Johanna Wonyou et Elias Friha, ont participé activement à ce projet d’inclusion. Les boxeurs se sont volontiers mis en fauteuil pour boxer avec Lise Gaag sur le ring de la salle des championnats de France. Ces sportifs ont fait preuve d’une grande humanité, de bienveillance et de gentillesse à l’égard des jeunes participants.
Dans le Territoire de Belfort, l’inclusion des personnes en situation de handicap physique est favorisée grâce à une convention avec l’institut d’éducation motrice "Thérese Bonnayme" de Belfort et celle des personnes en situation de handicap social, grâce à une convention avec la protection judiciaire de la jeunesse de Danjoutin.
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Transmission du drapeau des anciens combattants de Giromagny au collège Val de Rosemont
Le 14 mars dernier, le collège de Giromagny a reçu, lors d’une cérémonie solennelle, le drapeau de l’association dissoute des anciens combattants 1914-1918 et 1939-1945 de Giromagny.
La cérémonie s’est déroulée en présence du recteur Jean-François Chanet, de la préfète du Territoire de Belfort, Sophie Elizéon, du président d’honneur du Souvenir français national, Bernard Chopin, et de nombreuses personnalités.
Transmettre symboliquement le devoir de mémoire
Au lendemain de la Première Guerre mondiale, un réseau d’associations d’anciens combattants est né : plus de 10 000 communes possédaient "leur" association. Toutes possédaient un drapeau. Peu à peu, ces associations disparaissent et sont dissoutes. Le Souvenir français a souhaité donner une "seconde vie" à ces drapeaux associatifs en les déposant dans les établissements scolaires des communes concernées.
Quatre élèves volontaires, garants du drapeau
La cérémonie de transmission du drapeau a été accompagnée d’une présentation des travaux effectués par les collégiens de troisième sur le thème de la mémoire des guerres. Pour Laurent Sirantoine, principal du collège Val de Rosemont, "associer à la transmission du drapeau une présentation d’un travail scolaire permet de donner encore plus de sens à ce geste".
À la suite de cette présentation, Louka Demouge, porte-drapeau, Emérence Thirion et Thomas Cheviron, les garde-drapeau, et Lison Marchand qui pourra suppléer l’un ou l’autre en cas d’absence, ont reçu le drapeau de l’association dissoute des mains de Lucien Grosboillot, ancien combattant, et de Geneviève Perros, responsable du Souvenir français de Giromagny.
Ces élèves auront, au nom de leurs camarades, la responsabilité de porter le drapeau lors des cérémonies officielles, de montrer que la jeunesse conserve cette mémoire. Chaque année, le collège désignera trois élèves pour participer notamment aux cérémonies du 8 mai, date célébrant la Victoire du 8 mai 1945, et celles du 11 novembre, date célébrant l’armistice de 1918, et journée d’hommage à tous les morts pour la France.
La convention signée le jour même entre le souvenir Français représenté par le colonel de réserve Jean-François Bloch et le collège Val de Rosemont s’appuie sur l’arrêté de la ministre de l’Éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, en date du 9 octobre 2014, portant agrément national au titre des associations éducatives complémentaires de l’enseignement public à l’association Le Souvenir français.
Le drapeau confié au collège sera prochainement installé ensuite dans un endroit visible de tous, choisi par les élèves du CVC.
Une autre manière d’aborder l’Histoire
Le projet présenté par les professeurs et les élèves, intitulé "d’une guerre à l’autre, un parcours de mémoire", est né de la volonté d’offrir à tous les élèves de troisième l’opportunité de sortir de la classe afin de faire de l’histoire autrement, de les amener à s’interroger, à réfléchir en étant confrontés à l’Histoire par le biais de lieux de mémoire des deux guerres mondiales et de leur permettre ensuite d’en rendre compte.
Un projet mené au long cours
En septembre 2017, les collégiens se sont rendus sur le Sentier de la Mémoire ; ce chemin du souvenir entre le village voisin d’Auxelles-Haut et la Planche des Belles Filles a été conçu par leurs prédécesseurs, élèves de 2009-2010, déjà avec le Souvenir français. Cette randonnée a permis d’aborder, en amont du cours d’histoire, le thème de la Résistance, de réfléchir aux acteurs, aux risques encourus, à la répression, aux actions des résistants, à la vie dans les maquis ou encore à l’organisation de la résistance à l’échelle nationale et locale. Tout cela a pu se faire in situ puisque les sentiers de la mémoire se trouvent dans le massif de la Haute Planche qui a abrité quelques temps des maquisards en 1944 d’où le choix de ce site pour la réalisation du sentier.
En novembre, les quatre classes de troisième se sont rendues à Verdun. Le procédé pédagogique était inverse, cette fois-ci le cours sur la Première Guerre mondiale avait déjà été abordé et il s’agissait de réactiver les connaissances et de les approfondir grâce à cette sortie. Les élèves ont pu visiter cinq hauts lieux de mémoire qui ont leur ont permis de percevoir la violence et la réalité de la guerre (site de l’ancien village de Fleury dont le paysage exprime toute la violence des combats et des bombardements, ossuaire de Douaumont, nécropole nationale, mémorial de Verdun dédié aux anciens combattants français et allemands de 1914-1918, visite du fort de Vaux, autour de Verdun).
Entre novembre et février, les élèves ont réalisé différentes productions écrites qui ont été lues ou présentées lors de la cérémonie de transmission du drapeau.
Une approche pluridisciplinaire
Ce travail a été mené par les professeurs d’histoire géographie et de lettres, mais également d’arts plastiques, le professeur des écoles du dispositif ULIS. Il repose sur une pédagogie de projet et fait partie intégrante du Parcours citoyen. Il a reçu le label de la mission du Centenaire de la Première Guerre mondiale, qui distingue les projets les plus innovants et les plus structurants pour les territoires.
Contacts
Olivier Apollon, référent académique mémoire et citoyenneté
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Au lycée Follereau : l’égalité des chances au féminin !
Le 8 mars dernier, le recteur Jean-François Chanet s’est rendu au lycée Raoul Follereau de Belfort, dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes et de la semaine de l’entrepreneuriat au féminin.
La journée du 8 mars est un moment privilégié qui réunit les actrices et les acteurs de la région académique autour de la question de l’égalité entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes du système éducatif.
Toutes et tous mobilisé(e)s au profit de l’égalité et de la mixité
Depuis plusieurs années, le lycée Follereau s’est engagé dans de nombreux projets qui visent à donner à ses élèves, avec une attention davantage centrée sur l’ambition des jeunes filles, les atouts nécessaires pour se former et réussir leur insertion professionnelle, notamment dans les carrières scientifiques et technologiques :
les sciences de l’ingénieur au féminin
les sciences et techniques en tous genres
des semaines dédiées telles que la semaine école-entreprise et la semaine de l’Industrie en partenariat avec la CCI et la Vallée de l’Énergie, ainsi que les associations Watt’ Elles et IndustriElles
des tables-rondes sur l’entrepreneuriat au féminin et des conférences-débats
des partenariats avec l’enseignement supérieur et des interventions de nombreuses formations (CPGE, UTBM, IUT, université ; participation active aux différents forums de l’orientation, au dispositif "Une classe, un chercheur", conférences, tutorat entre élèves…).
De nombreuses actions exemplaires
En décembre dernier, l’établissement s’est vu attribuer le prix départemental des "trophées de l’égalité et de la mixité" qui réunissaient les établissements de l’académie porteurs de projets en faveur de l’égalité filles-garçons et de la mixité.
Le recteur a pu prendre le pouls de cet engagement au sein l’établissement. Il a notamment visité une exposition réalisée par l’ensemble des lycéens dans le cadre d’un concours intitulé "Pourquoi pas moi ?", sur le thème de la lutte contre les clichés dans les formations et les professions.
Il a ensuite assisté à un débat sur la mixité et l’égalité filles-garçons entre deux classes de la voie professionnelle. Ce débat a été réalisé dans la continuité du travail mené dans le secteur de la logistique par l’Association pour le développement de la formation professionnelle dans le transport, dans le cadre de la mixité et égalité professionnelle. Les deux classes ont bénéficié d’une formation sur les clichés sexistes, proposée par l’association "Femmes, égalités, emploi".
Un programme pour permettre aux filles d’accéder à tous les métiers
Ensuite, le programme Capital Filles a officiellement été lancé au sein du lycée, en présence du recteur, de la préfète du Territoire de Belfort, de la déléguée générale de Capital Filles et des acteurs impliqués.
Ce programme s’adresse aux jeunes filles de filières technologiques, professionnelles et générales, scolarisées dans des lycées relevant des politiques de la ville et/ou de zones rurales. Ce programme s’inscrit dans le Parcours Avenir qui doit notamment permettre à chaque élève de la troisième à la terminale de "comprendre le monde économique et professionnel ainsi que la diversité des métiers et des formations" et "élaborer son projet d’orientation scolaire et professionnelle".
Objectifs de Capital Filles
Renforcer la confiance des jeunes filles, en elles-mêmes et en leur avenir professionnel
Inviter les jeunes filles à découvrir des filières scientifiques, technologiques et industrielles, encore traditionnellement masculines
Accompagner les jeunes filles dans leurs choix d’orientation vers des secteurs d’activités et des métiers d’avenir, notamment dans leur région, ainsi que vers les formations qui y conduisent
Encourager l’apprentissage
Donner une image positive et accueillante des entreprises et de leur région.
Trois établissements de l’académie intégrés dans le programme
Ce programme, né en 2011 au niveau national, s’est implanté en novembre 2016 dans l’académie de Besançon. Il a pris sa place dans le paysage local, territoire qui conjugue industrie et grande ruralité, secteurs urbains et activités locales ciblées.
Deux lycées ont intégré initialement le programme Capital Filles : le lycée professionnel Tristan Bernard à Besançon et la cité scolaire du Pré Saint-Sauveur à Saint-Claude.
Avec le lycée Raoul Follereau, qui inscrit son action depuis de nombreuses années dans une politique dynamique en vue d’une d’orientation choisie, le programme Capital Filles se déploie à présent dans le Territoire de Belfort.
Contacts
Dominique Chatté, chargée de mission académique égalité filles-garçons
Isabelle Maire, chargée de mission école-entreprise
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Journée de lutte contre les stéréotypes des métiers dits masculins au lycée Diderot
Le 8 mars dernier, le lycée des métiers de l’électricité, des technologies numériques et de la productique de Bavilliers a organisé une journée sur la thématique : "les métiers ont-ils un genre ?"
Cette action s’adressait aux jeunes filles des classes de 4e des cinq collèges de Belfort. Au total, une centaine d’élèves ont participé à cette manifestation au sein du lycée. Le matin était consacré à des activités sportives présupposées masculines : football, boxe, rugby…
L’après-midi, un concours d’affiches a été organisé. Le thème était "Pourquoi se donner un genre ?". Une trentaine d’affiches avaient été réalisées au préalable dans les collèges respectif. Plusieurs prix ont été décernés : meilleur message, esthétique et originalité. Le grand vainqueur est le collège Vauban.
Après ce concours, une conférence et des tables-rondes ont été présidées par la préfète du Territoire de Belfort, Sophie Elizéon et la rédactrice en chef du magazine "Les Sportives", Aurélie Bresson.
Les tables-rondes étaient animées par des femmes ayant des postes à responsabilités en entreprise, dans des métiers de l’industrie, du bâtiment et des sciences. Les élèves ont ainsi pu recueillir les témoignages de chacune de ces femmes afin de les présenter oralement ensuite.
Contacts
Dominique Chatté, chargée de mission académique égalité filles-garçons
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L’amitié franco-allemande célébrée à Belfort !
Lundi 29 janvier, des écoliers et collégiens belfortains ont participé à une journée commémorative du 55e anniversaire du Traité de l’Élysée.
Chaque année, la "journée franco-allemande" du 22 janvier permet de mieux faire connaître la culture et la langue du pays partenaire dans les écoles et les établissements scolaires.
Tisser des liens solides autour de l’amitié franco-allemande
Au centre culturel et social de la Pépinière Michel Legrand de Belfort, le recteur Jean-François Chanet a assisté à une commémoration à laquelle ont participé les élèves de grande section de maternelle et de CP-CE1 de l’école Hubert Metzger de Belfort et des élèves de 6e, 5e et 4e bilangues du collège Léonard de Vinci de Belfort.
Le projet illustre concrètement la continuité des parcours des élèves germanistes de Belfort, de la maternelle au lycée Condorcet, que se soit en section européenne allemand ou dans le cadre du dispositif Abibac.
La matinée a commencé par un accueil et une présentation en français et en allemand par les élèves. Elle s’est poursuivie avec des interludes chantés et un rappel historique du traité de l’Élysée. Enfin, tous les élèves ont défilé sur scène, présentant des pancartes lettres formant des mots en relation avec les 55 années de coopération et d’amitié entre les deux pays.
Une convention pour ancrer localement les échanges entre la France et l’Allemagne
Après la représentation, une convention entre l’académie et la maison de la Rhénanie-Palatinat de Dijon a été signée par le recteur et le consul honoraire d’Allemagne et directeur de la maison de la Rhénanie-Palatinat, Till Meyer.
Cette commémoration a été rendue possible grâce au soutien de nombreux partenaires, dont l’OFAJ, le Goethe-Institut, l’Association pour le développement de l’enseignement de l’allemand en France, les maisons franco-allemandes et de nombreuses entreprises.
Une occasion de découvrir la langue et la culture allemande
Les établissements scolaires sont vivement incités à célébrer l’amitié franco-allemande en mettant en œuvre des actions permettant aux élèves germanistes ou non et à leurs familles de découvrir la langue et la culture allemandes.
Ces projets pédagogiques soutenus par l’OFAJ, souvent transversaux, sont l’occasion de mettre en évidence l’intérêt du plurilinguisme. Ils contribuent à la l’éducation à la citoyenneté et au développement de l’altérité. Ils permettent également de découvrir les possibilités d’orientation professionnelle dans des entreprises partenaires.
Journée franco-allemande au collège Val de Rosemont
Contacts
Marie-Christine Clerc-Gevrey, IA-IPR, chargée de la mission de continuité de l’apprentissage de l’allemand
Natacha Lanaud-Lecomte, déléguée académique aux relations européennes et internationales et à la coopération
École maternelle Hubert Metzger
École Hubert Metzger
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Journée franco-allemande au collège Val de Rosemont
Le lundi 22 janvier 2018, les élèves germanistes de 5e du collège Val de Rosemont de Giromagny se sont rendus avec leur professeur d’allemand Nina Gaillard dans la classe de CE1/CE2 de Claire Jullerot à l’école élémentaire de Chaux.
Les collégiens ont présenté leur travail, des productions de textes et des affiches, des exposés centrés sur la comparaison entre la France et l’Allemagne dans différentes thématiques : monuments, spécialités culinaires, système scolaire, habitudes.
Les écoliers ont accueilli les collégiens dans une salle qu’ils avaient préalablement décorée aux couleurs des deux pays. Des activités communes, jeux en langue allemande et goûter préparé par les écoliers et les familles ont conclu l’après-midi.
Cette journée est un levier pour une meilleure connaissance du pays partenaire. Elle contribue à la promotion de la langue du pays partenaire.
La date symbolique du 22 janvier a été choisie en 2003 lors du 40e anniversaire du Traité de l’Élysée. Signé le 22 janvier 1963, le Traité de l’Élysée portait l’ambition d’ancrer la réconciliation franco-allemande au sein de la société, en particulier par le biais de la culture et des échanges de jeunes. La "journée franco-allemande" du 22 janvier permet chaque année de mieux faire connaître, dans les écoles et les établissements scolaires, la culture et la langue du pays partenaire.
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Contact
Laurent Sirantoine, principal du collège
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mercredi 13 décembre 2017
Un livre pour ne pas oublier
Dans le cadre du centenaire 14-18, les élèves de cours moyen de l’école du Vieux Tilleul à Meroux, ont écrit un livre racontant les événements qui se sont déroulés dans le Territoire de Belfort pendant la première guerre mondiale.
Chaque année du centenaire, les enfants de CM1 et CM2 ont mené à bien un projet qui développait un axe de découverte lié à la guerre de 14-18. Ce livre est le quatrième projet et a pour objectif de permettre d’appréhender l’importance des événements qui se sont passés à côté de chez nous et faire le lien avec l’ouvrage militaire du village terminé en 1913. Une série de livres a été gardée en classe et servira à la lecture suivie dans les classes. Une série a été offerte aux enfants auteurs du livre. Une autre a été offerte aux différents partenaires, amis ou connaissances de l’école, dont les élus locaux et même nationaux. Leurs réponses ont permis un travail de compréhension sur l’organisation de notre pays.
Contact
Thierry Mantion, directeur et professeur de la classe
Courriel
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